Anne Camus a souligné une nouvelle fois l’opacité de la méthode de révision de ce plan et de la modification du périmètre du secteur sauvegardé qui écarte à la fois les élus de l’opposition et les associations.
Ensuite, elle a rappelé les carences des périmètres de protection actuels de 500 mètres autour des bâtiments historiques qui ne servent à rien. En effet, des enseignes en PVC lumineuses, des publicités interdites, une mauvaise intégration des vitrines, sont autant d’éléments qui se banalisent.
Au nom de la Gauche Vannetaise, Madame Camus a proposé d’incorporer au périmètre du secteur sauvegardé les secteurs de la place Marchais (Hôtel de Ville, collège Jules Simon) et de la rue Thiers (Limur). L’intégration de ces bâtiments pourrait par la suite enrichir la réflexion sur la politique de déplacements et de stationnements de la Place Marchais, de la rue Thiers et de la rue Hoche.
En écho à la commission d’enquête sur le PNR, elle a proposé également d’inclure le secteur sauvegardé de la ville de Vannes « cœur du Parc » dans le périmètre du Parc, lieu de collecte de la connaissance patrimoniale.
D’autre part, depuis juin 2010, la ville a signé une convention avec la région concernant l’inventaire du patrimoine de la commune. Selon cette convention, la ville avait obligation de mettre en place un comité de suivi chargé :
- d’inclure dans sa composition un représentant associatif (+ élus)
- d’effectuer des présentations régulières de la démarche et de son avancement auprès de la commission extra municipale du secteur sauvegardé
- d’associer dans des réunions régulières les associations locales du patrimoine et spécialistes de l’histoire de la ville.
Force est de constater qu’aucune de ces modalités de pilotage et de concertation n’a été prise en compte.
Ensuite, elle a rappelé les carences des périmètres de protection actuels de 500 mètres autour des bâtiments historiques qui ne servent à rien. En effet, des enseignes en PVC lumineuses, des publicités interdites, une mauvaise intégration des vitrines, sont autant d’éléments qui se banalisent.
Au nom de la Gauche Vannetaise, Madame Camus a proposé d’incorporer au périmètre du secteur sauvegardé les secteurs de la place Marchais (Hôtel de Ville, collège Jules Simon) et de la rue Thiers (Limur). L’intégration de ces bâtiments pourrait par la suite enrichir la réflexion sur la politique de déplacements et de stationnements de la Place Marchais, de la rue Thiers et de la rue Hoche.
En écho à la commission d’enquête sur le PNR, elle a proposé également d’inclure le secteur sauvegardé de la ville de Vannes « cœur du Parc » dans le périmètre du Parc, lieu de collecte de la connaissance patrimoniale.
D’autre part, depuis juin 2010, la ville a signé une convention avec la région concernant l’inventaire du patrimoine de la commune. Selon cette convention, la ville avait obligation de mettre en place un comité de suivi chargé :
- d’inclure dans sa composition un représentant associatif (+ élus)
- d’effectuer des présentations régulières de la démarche et de son avancement auprès de la commission extra municipale du secteur sauvegardé
- d’associer dans des réunions régulières les associations locales du patrimoine et spécialistes de l’histoire de la ville.
Force est de constater qu’aucune de ces modalités de pilotage et de concertation n’a été prise en compte.