Lors du Conseil de la Communauté d’agglomération du 17 décembre dernier, Anne CAMUS est intervenue à l’occasion du débat relatif à l’Agenda 21 et au Plan climat territorial.
« Le développement durable est le développement qui satisfait les besoins de la génération actuelle sans priver les générations futures de la possibilité de satisfaire leurs propres besoins. » (Rapport Brundtland - Nations Unies - 1987)
Il impose et plus particulièrement dans notre collectivité des changements structurels pour rééquilibrer les pouvoirs entre priorités économiques et impératifs sociaux et écologiques.
Il impose de ne pas se contenter de consultation ou d’information mais de mettre en place de nouvelles pratiques de démarche participative, car le développement durable, c’est aussi une méthode de concertation élargie à tous les partenaires.
Il impose également une solidarité inter-communale dans l’aménagement et l’urbanisme de la CAPV afin de ne plus prendre des décisions politiques à court terme sans évaluer leur impact sur l’ensemble d’un territoire.
Je pense notamment à toutes ces nouvelles zones commerciales et de loisirs qui se développent…et qui en plus sont génératrices de déplacements.
Comment peut-on mettre en place des Agenda 21, cotiser au Comité français pour l’Environnement et le Développement Durable et parallèlement permettre que les banques, les assurances, les agences immobilières ou de voyages deviennent les somnifères de l’ hyper centre pendant que les zones périphériques explosent en pôles commerciaux, de loisirs et de restauration ?
Ce sont tous ces principes fondateurs du développement durable qui font aujourd’hui défaut à la CAPV, alors, un Agenda 21, oui bien sûr, c’est dans l’air du temps, mais souhaitons qu’enfin ça se concrétise par des actions cohérentes …
« Le développement durable est le développement qui satisfait les besoins de la génération actuelle sans priver les générations futures de la possibilité de satisfaire leurs propres besoins. » (Rapport Brundtland - Nations Unies - 1987)
Il impose et plus particulièrement dans notre collectivité des changements structurels pour rééquilibrer les pouvoirs entre priorités économiques et impératifs sociaux et écologiques.
Il impose de ne pas se contenter de consultation ou d’information mais de mettre en place de nouvelles pratiques de démarche participative, car le développement durable, c’est aussi une méthode de concertation élargie à tous les partenaires.
Il impose également une solidarité inter-communale dans l’aménagement et l’urbanisme de la CAPV afin de ne plus prendre des décisions politiques à court terme sans évaluer leur impact sur l’ensemble d’un territoire.
Je pense notamment à toutes ces nouvelles zones commerciales et de loisirs qui se développent…et qui en plus sont génératrices de déplacements.
Comment peut-on mettre en place des Agenda 21, cotiser au Comité français pour l’Environnement et le Développement Durable et parallèlement permettre que les banques, les assurances, les agences immobilières ou de voyages deviennent les somnifères de l’ hyper centre pendant que les zones périphériques explosent en pôles commerciaux, de loisirs et de restauration ?
Ce sont tous ces principes fondateurs du développement durable qui font aujourd’hui défaut à la CAPV, alors, un Agenda 21, oui bien sûr, c’est dans l’air du temps, mais souhaitons qu’enfin ça se concrétise par des actions cohérentes …