Le jeudi 8 avril, en fin d'après-midi, un incendie a complétement détruit les combles de la clinique Ste Claire. A l'abandon depuis bientôt six ans les anciennes cliniques de la rue Texier-Lahoulle sont régulièrement dégradées, pillées, squattées, au grand dam des riverains qu'une telle situation inquiéte à juste titre.
Nicolas Le Quintrec réagit aux propos du maire-adjoint M. Auger (dans le Télégramme du 23 avril) sur la place et le rôle de la municipalité dans le pilotage des projets d'aménagements des trois sites des ex-cliniques.
Au moment où l’approche « ville durable » devient la référence partout en Europe, la municipalité ne peut pas continuer à traiter l’aménagement urbain à « l’unité ». Certes, chaque ex-clinique constitue un site autonome. Mais, ces sites sont insérés dans un ensemble urbain.
Réhabiliter ces espaces induit inéluctablement des effets nouveaux en termes démographique, de transport, de circulation, de services …, qui modifieront la qualité de vie du quartier.
La ville ne peut pas se contenter non plus de simples critères quantitatifs prévus au PLU à savoir 200 à 300 logements et 20 % de logements sociaux. Elle doit chercher à définir les contours futurs de ces espaces à partir de projets globaux qui mettent l’accent sur les interfaces entre les différents secteurs du quartier et, en ce qui concerne la rue Texier Lahoulle, entre les deux ex-cliniques. Il ne s’agit pas uniquement de savoir combien construire mais comment, pour qui, pour quel quartier …
C’est ce que réclame les riverains du quartier. C’est aussi l’esprit de la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain) de 2009 qui préconise une approche transversale qui lie les questions d’aménagement, d’architecture, de transport, le cadre de vie, de mixité, de vie sociale etc …
Donc, contrairement aux propos de Monsieur AUGER sur la place et le rôle de la municipalité, nous pensons qu’il appartient aux élus de définir une véritable stratégie d’aménagement des espaces et un rôle dynamique autour d’une démarche de projets concertés. C’est pourquoi, il nous semble pertinent de définir un plan d’ensemble.
Réhabiliter ces espaces induit inéluctablement des effets nouveaux en termes démographique, de transport, de circulation, de services …, qui modifieront la qualité de vie du quartier.
La ville ne peut pas se contenter non plus de simples critères quantitatifs prévus au PLU à savoir 200 à 300 logements et 20 % de logements sociaux. Elle doit chercher à définir les contours futurs de ces espaces à partir de projets globaux qui mettent l’accent sur les interfaces entre les différents secteurs du quartier et, en ce qui concerne la rue Texier Lahoulle, entre les deux ex-cliniques. Il ne s’agit pas uniquement de savoir combien construire mais comment, pour qui, pour quel quartier …
C’est ce que réclame les riverains du quartier. C’est aussi l’esprit de la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain) de 2009 qui préconise une approche transversale qui lie les questions d’aménagement, d’architecture, de transport, le cadre de vie, de mixité, de vie sociale etc …
Donc, contrairement aux propos de Monsieur AUGER sur la place et le rôle de la municipalité, nous pensons qu’il appartient aux élus de définir une véritable stratégie d’aménagement des espaces et un rôle dynamique autour d’une démarche de projets concertés. C’est pourquoi, il nous semble pertinent de définir un plan d’ensemble.