Vannes, le 21 novembre 2010.
Monsieur le Maire
Hôtel de Ville
Place Maurice Marchais
56 000 VANNES
Monsieur le Président
Vannes Golfe Habitat
4, rue Cdt Charcot
56 002 VANNES Cedex
Ménimur : des hausses de loyers exorbitantes / bouclier logement
Messieurs,
Le 15 octobre 2010 en conseil municipal, Monsieur le Président VGH et 1er adjoint vous nous avez affirmé que les hausses de loyers ne concernaient que 8 familles. Monsieur le Maire vous nous avez déclaré avec aplomb que l’APL (allocation logement) suivrait la hausse de loyer.
La réalité est toute autre. Depuis, nous avons rencontré de nombreux locataires rue Renoir, allée des Lilas, allée des Pivoines, rue Monet et nous avons constaté, dans les 3/4 des cas une augmentation de loyer d’environ 100 € par mois par logement. Cette hausse est confirmée par VGH dans un courrier personnalisé adressé à chaque locataire. Pour certains, la progression de l’APL ne compense pas l’augmentation puisqu’elle n’est que de 2 € par mois.
Nous sommes bien loin de votre promesse Monsieur le Maire tenue en 2007 en réunion publique devant les habitants : « l’opération urbaine n’aura pas d’incidence sur les loyers »
Par ailleurs, les locataires sont confrontés à une autre réalité : leur chauffage vient d’augmenter de 15 à 25 € dès leur 1ère facture d’hiver (octobre 2010) alors que l’économie prévue suite aux travaux d’amélioration des logements devait être de 40 %. Pourquoi ne pas avoir anticipé cette baisse ?
Au vu de cette situation intenable financièrement pour de nombreuses familles, nous vous proposons de mettre en place d’un bouclier logement à l’instar d’autres villes concernées par des rénovations urbaines. Ce dispositif conduit le propriétaire, à savoir Vannes Golfe Habitat, à prendre à sa charge la hausse de loyer liée aux travaux de réhabilitation des logements. Cette mesure se justifie puisque les investissements engagés il y a 40 ans au moment de la construction des HLM sont amortis depuis plusieurs années. Il n’y a donc aucune raison d’alourdir le budget logement des ménages.
Entendez la colère et le désespoir des locataires exprimés par certains lors de la réunion publique de vendredi dernier.
En espérant une réponse favorable à cette proposition, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Maire, Monsieur le Président, nos respectueuses salutations.
Pour la Gauche Vannetaise
Nicolas LE QUINTREC
Conseiller municipal
mercredi 24 novembre 2010
lundi 22 novembre 2010
Lors du Conseil d’agglomération exceptionnel convoqué par le Président de Vannes Agglo, la gauche a défendu le projet de Parc Naturel Régional (PNR) face à la stratégie de posture politique de François Goulard dont la logique n’a rien à voir avec les enjeux de la charte du PNR.
D’ailleurs, il déclare en avant propos qu’il est d’accord avec le projet du PNR à 99 %. En fait, il s’agit pour lui d’enterrer ce projet auquel il s’oppose depuis toujours.
Au titre de la Gauche Vannetaise, Anne Camus a exhorté les membres du Conseil d’agglomération à approuver le projet dans l’état :
« Monsieur le Président, chers collègues,
Le Conseil Régional, sollicité par 27 communes concernées a décidé en 1999 d’enclencher la procédure de création d’un PNR pour le Golfe du Morbihan.
Un peu plus tard, en 2003, 11 nouvelles communes rétro littorales ont demandé leur intégration au périmètre.
Les communes, tenant compte des recommandations de la Fédération des Parcs Naturels, du Conseil National pour la Protection de la Nature, du Ministère de l’Ecologie et plus récemment de la Commission d’Enquête Publique, ont enrichi successivement le projet de parc.
La construction de la charte a été initiée, négociée, voulue et mise en œuvre par les élus locaux dans un esprit de concertation et de dialogue. Ils ont fédéré et impulsé une dynamique autour du projet Parc avec différents partenaires socio-professionnels, associatifs, administratifs… en témoignent les nombreuses personnes présentes aujourd’hui.
Les communes ont été pendant 11 ans la cheville ouvrière du parc, elles sont les plus territorialement concernées, aussi, Monsieur le Président, chers Collègues, nous regrettons que leur avis, conformément aux recommandations du Ministère et de la Région n’ait pas été entendu avant l’expression de la Communauté d’Agglomération.
Par ailleurs, le Conseil Régional vous a adressé un courrier la veille du bureau des Maires du 5 novembre 2010, courrier qui n’a semble-t-il pas été communiqué aux élus qui ont demandé précipitamment la réunion du conseil extraordinaire de ce soir.
Pourtant, ce courrier fait savoir, que conformément aux règles encadrant la procédure d’enquête publique le projet de charte ne peut être réajusté que dans le strict périmètre des remarques formulées par la commission d’enquête publique.
Commission d’enquête qui n’a pas remis en cause l’enveloppe maximale des 364 ha réservée à l’urbanisation et le principe de densification qui avaient été posés en 2009 comme étant les fondamentaux de la Charte par le Conseil National de Protection de la Nature.
Le maintien de ces objectifs conditionne l’avis final des instances nationales puisque la commission nationale avait rappelé qu’elle ne saurait se contenter d’une ambition moindre au moment de la présentation du dossier.
Il s’agit de simple bon sens, la Région, maître d’ouvrage, a la pleine responsabilité de mener à son terme le projet de Parc Naturel Régional, elle ne peut prendre le risque de soumettre un projet de charte affaibli pour le classement du PNR.
Par conséquent, nous ne pouvons donc vous suivre Monsieur le Président dans les demandes irraisonnables d’amendements que vous nous présentez ce soir puisqu’ils remettent en cause toute une procédure qui a obtenu un large avis favorable. »
D’ailleurs, il déclare en avant propos qu’il est d’accord avec le projet du PNR à 99 %. En fait, il s’agit pour lui d’enterrer ce projet auquel il s’oppose depuis toujours.
Au titre de la Gauche Vannetaise, Anne Camus a exhorté les membres du Conseil d’agglomération à approuver le projet dans l’état :
« Monsieur le Président, chers collègues,
Le Conseil Régional, sollicité par 27 communes concernées a décidé en 1999 d’enclencher la procédure de création d’un PNR pour le Golfe du Morbihan.
Un peu plus tard, en 2003, 11 nouvelles communes rétro littorales ont demandé leur intégration au périmètre.
Les communes, tenant compte des recommandations de la Fédération des Parcs Naturels, du Conseil National pour la Protection de la Nature, du Ministère de l’Ecologie et plus récemment de la Commission d’Enquête Publique, ont enrichi successivement le projet de parc.
La construction de la charte a été initiée, négociée, voulue et mise en œuvre par les élus locaux dans un esprit de concertation et de dialogue. Ils ont fédéré et impulsé une dynamique autour du projet Parc avec différents partenaires socio-professionnels, associatifs, administratifs… en témoignent les nombreuses personnes présentes aujourd’hui.
Les communes ont été pendant 11 ans la cheville ouvrière du parc, elles sont les plus territorialement concernées, aussi, Monsieur le Président, chers Collègues, nous regrettons que leur avis, conformément aux recommandations du Ministère et de la Région n’ait pas été entendu avant l’expression de la Communauté d’Agglomération.
Par ailleurs, le Conseil Régional vous a adressé un courrier la veille du bureau des Maires du 5 novembre 2010, courrier qui n’a semble-t-il pas été communiqué aux élus qui ont demandé précipitamment la réunion du conseil extraordinaire de ce soir.
Pourtant, ce courrier fait savoir, que conformément aux règles encadrant la procédure d’enquête publique le projet de charte ne peut être réajusté que dans le strict périmètre des remarques formulées par la commission d’enquête publique.
Commission d’enquête qui n’a pas remis en cause l’enveloppe maximale des 364 ha réservée à l’urbanisation et le principe de densification qui avaient été posés en 2009 comme étant les fondamentaux de la Charte par le Conseil National de Protection de la Nature.
Le maintien de ces objectifs conditionne l’avis final des instances nationales puisque la commission nationale avait rappelé qu’elle ne saurait se contenter d’une ambition moindre au moment de la présentation du dossier.
Il s’agit de simple bon sens, la Région, maître d’ouvrage, a la pleine responsabilité de mener à son terme le projet de Parc Naturel Régional, elle ne peut prendre le risque de soumettre un projet de charte affaibli pour le classement du PNR.
Par conséquent, nous ne pouvons donc vous suivre Monsieur le Président dans les demandes irraisonnables d’amendements que vous nous présentez ce soir puisqu’ils remettent en cause toute une procédure qui a obtenu un large avis favorable. »
A l’issue du débat communautaire, une majorité (51 voix contre 38) a approuvé la délibération proposée par François Goulard. Ce vote négatif à l’égard du PNR est un coup dur pour l’avenir de l’agglomération vannetaise.
Toutefois, la consultation des communes et des autres intercommunalités se poursuit. Rien n’est perdu. Nous continuerons à nous mobiliser.
lundi 8 novembre 2010
Parc naturel du Golfe : une chance unique pour notre territoire !
Le projet de Parc naturel du Golfe arrive dans une phase décisive. L'enquête publique vient de s'achever par un avis favorable. Ce sont maintenant les collectivités locales qui doivent se prononcer dans les quatre mois. Le soutien de la ville de Vannes (plus largement de l'agglomération de Vannes) est loin d'être acquis. En cause ? La gouvernance du futur parc et les contraintes d'urbanisme. Il est vrai que M. Goulard, maire de Vannes et président de l’agglomération, n'a guère desserré le frein depuis que ce projet est en discussion, sans véritablement s'opposer mais sans non plus soutenir le projet en pratiquant régulièrement la politique de la chaise vide. Il y voit certainement en germe une restriction de son pouvoir plus particulièrement sur les questions du foncier et de l'urbanisme.
Or, bien plus qu’une restriction de pouvoir, il s'agit ici de reprendre publiquement la main sur une question foncière et urbaine abandonnée depuis trop longtemps aux seules lois du marché. On connaît les conséquences de ce modèle sur le littoral, les constructions se multiplient en dépit du bon sens, les jeunes ménages sont chassés des côtes où les prix de l'immobilier flambent, les liens sociaux et générationnels se délitent, l'individualisme règne ou galope comme sur la Côte d'Azur. Le modèle résidentiel de la Breizh Riviera, de la privatisation de la côte, atteint ses limites dans le Golfe du Morbihan avec comme trait caractéristique la multiplication des conflits d'usages -pensons à l'avenir de l'ostréiculture aujourd'hui en crise-.
En persistant dans cette logique, nous risquons de perdre notre identité et ce qui fait aujourd'hui notre richesse, notre patrimoine et nos ressources naturelles. Le projet de Parc naturel du Golfe est un ballon d'oxygène pour notre territoire et pour ceux qui y habitent, il doit nous permettre de repartir du bon pied sur des bases équilibrées de développement. Refuser cette perspective pour de mauvaises raisons politiciennes, c'est condamner à terme notre territoire et plus largement les autres projets à l’échelle de la Bretagne.
Anne CAMUS
Conseillère municipale Vannes
Conseillère régionale Bretagne Ecologie
mercredi 3 novembre 2010
Stationnement : le parking du Port
Lors du conseil municipal d’octobre dernier, le rapport d’activité 2009 présenté par le délégataire « Q Park » présente, d’une part, un déficit de 439 000 € et, d’autre part, des préconisations inacceptables comme « la mise en payant du parking des Capucins ». La rentabilité de cette exploitation privée ne peut se faire sur le dos des contribuables et sur celui de l’intérêt général. C’est en ces termes que Micheline RAKOTONIRINA a exprimé l’avis de la Gauche Vannetaise.
Les aléas économiques de l’exploitation reviennent au délégataire. Mais, sous peine d’être conduite à verser des compensations, la ville doit préserver un « milieu » favorable à la réussite de l’entreprise. Voilà pourquoi, la collectivité est condamnée sans doute à garantir un flux automobile conséquent dans ce secteur. Sur ce point, la traduction de ce rapport est très explicite.
Cependant, nous ne pouvons approuver les préconisations de suppressions de places gratuites « à proximité du parc » énoncées par l’exploitant. Il y inclut le parking des Capucins et le parking enclos de la CCI.
Le parking des Capucins est stratégique pour l’attractivité du centre :
- offre de stationnement complémentaire pour les chalands, ce qui libère des places à proximité des commerces.
- élément capital des conditions matérielles de travail des actifs du commerce de centre ville dont le salaire moyen brut n’excède pas 1570 €. Il est gratuit et accessible à pied en peu de temps.
C’est d’ailleurs l’argument que vous nous adressiez Monsieur le Maire en réponse quand nous émettions des doutes sur la fréquentation du futur Q PARK, et quand nous soulignions que la partie gratuite du stationnement sur la Rabine était beaucoup plus fréquentée que la partie payante…
L’implantation du Q park, s’est négociée sur des bases, et dans un environnement qui devaient être connus du porteur de projet. A l’époque, le parking gratuit des Capucins, et ses projets d’agrandissement étaient publics.
Alors, avez-vous été clair sur ce sujet à l’époque ? Avez-vous manqué de prudence dans la rédaction de la délégation de service public ?
Ou aviez-vous envisagé avec Q PARK l’évolution demandée aujourd’hui et dans ce cas l’extension du parking gratuit des Capucins, annoncée publiquement, n’était-elle qu’un leurre ?
Nous n’en serions pas là si vous aviez mis en place en ville un véritable plan de stationnement qui s’avère de plus en plus indispensable.
Les aléas économiques de l’exploitation reviennent au délégataire. Mais, sous peine d’être conduite à verser des compensations, la ville doit préserver un « milieu » favorable à la réussite de l’entreprise. Voilà pourquoi, la collectivité est condamnée sans doute à garantir un flux automobile conséquent dans ce secteur. Sur ce point, la traduction de ce rapport est très explicite.
Cependant, nous ne pouvons approuver les préconisations de suppressions de places gratuites « à proximité du parc » énoncées par l’exploitant. Il y inclut le parking des Capucins et le parking enclos de la CCI.
Le parking des Capucins est stratégique pour l’attractivité du centre :
- offre de stationnement complémentaire pour les chalands, ce qui libère des places à proximité des commerces.
- élément capital des conditions matérielles de travail des actifs du commerce de centre ville dont le salaire moyen brut n’excède pas 1570 €. Il est gratuit et accessible à pied en peu de temps.
C’est d’ailleurs l’argument que vous nous adressiez Monsieur le Maire en réponse quand nous émettions des doutes sur la fréquentation du futur Q PARK, et quand nous soulignions que la partie gratuite du stationnement sur la Rabine était beaucoup plus fréquentée que la partie payante…
L’implantation du Q park, s’est négociée sur des bases, et dans un environnement qui devaient être connus du porteur de projet. A l’époque, le parking gratuit des Capucins, et ses projets d’agrandissement étaient publics.
Alors, avez-vous été clair sur ce sujet à l’époque ? Avez-vous manqué de prudence dans la rédaction de la délégation de service public ?
Ou aviez-vous envisagé avec Q PARK l’évolution demandée aujourd’hui et dans ce cas l’extension du parking gratuit des Capucins, annoncée publiquement, n’était-elle qu’un leurre ?
Nous n’en serions pas là si vous aviez mis en place en ville un véritable plan de stationnement qui s’avère de plus en plus indispensable.
Il pourrait comprendre deux zones parfaitement délimitées :
- Une zone d’hyper centre, avec des parkings de surface, à tarification incitative pour un stationnement à durée limitée et courte .
- Une zone de périphérie immédiate de l’hyper centre, comportant des parkings gratuits (pour les salariés du centre en particulier) et des parkings à tarifs fortement dégressifs en fonction de la durée d’utilisation.
Le parking des Capucins correspond parfaitement à cette deuxième zone et nous vous demandons d’en préserver la gratuité.
lundi 1 novembre 2010
Université : Transfert de l’UFR Droit et Sciences Economiques et Gestion
Le transfert de cette unité de formation de l’UBS du centre ville vers Tohannic concourt au renforcement du pôle universitaire. Il va libérer une emprise foncière d’environ 15 000 m² à l’arrière de l’Hôtel de ville. (rue de la Loi et rue de la Salle d’Asile) autorisant ainsi une réflexion en matière de renouvellement urbain de ce secteur.
En conseil municipal (15.10.2010) Micheline RAKOTONIRINA interpelle le Maire sur les intentions de la municipalité.
Bien sûr, nous approuvons l’appui proposé à l’UBS pour ce transfert qui va dans le sens de la création d’un véritable campus, pôle de recherche, élément indispensable de la dynamique future de notre territoire. Sans polémiquer, nous rappelons que nous avions plaidé pour un tel « pôle unique » dès l’incubation de l’UBS…
Mais bien sûr, le corollaire de ce nouvel aménagement demeure la préservation du dynamisme en centre-ville…
« Vous parlez de la nécessité du développement d’un ambitieux programme urbain ».
Et là, nous sommes quelque peu dubitatifs sur votre capacité de conduire ce développement pour la ville.
A proximité immédiate, de réelles opportunités d’un renouvellement urbain décisif pour le centre ville apparaissent : Nazareth, départ de la Prison, de la Sécurité sociale, et la place de la Libération… qui constituent des leviers d’action, assez rares dans une commune, de par leur surface et leur accès.
Vos positions erratiques d’aménagement dans le quartier nous posent question. Au fil des réunions publiques, des orientations budgétaires, et des articles de presse, nous avons vu se déplacer puis finalement disparaître une « médiathèque volante non identifiée », une hypothétique maison des associations, des parkings, des projets immobiliers sans services associés…
Au moment où vous annoncez un futur axe structurant reliant le Port à Nouvelle Coutume, si Nouvelle Coutume il y a, qui risque de pénaliser les activités des rues Thiers, Lebrix et Hoche entre autres,
au moment où vous vous interrogez visiblement sur la nécessité d’étendre le secteur piétonnier,
Bien sûr, nous approuvons l’appui proposé à l’UBS pour ce transfert qui va dans le sens de la création d’un véritable campus, pôle de recherche, élément indispensable de la dynamique future de notre territoire. Sans polémiquer, nous rappelons que nous avions plaidé pour un tel « pôle unique » dès l’incubation de l’UBS…
Mais bien sûr, le corollaire de ce nouvel aménagement demeure la préservation du dynamisme en centre-ville…
« Vous parlez de la nécessité du développement d’un ambitieux programme urbain ».
Et là, nous sommes quelque peu dubitatifs sur votre capacité de conduire ce développement pour la ville.
A proximité immédiate, de réelles opportunités d’un renouvellement urbain décisif pour le centre ville apparaissent : Nazareth, départ de la Prison, de la Sécurité sociale, et la place de la Libération… qui constituent des leviers d’action, assez rares dans une commune, de par leur surface et leur accès.
Vos positions erratiques d’aménagement dans le quartier nous posent question. Au fil des réunions publiques, des orientations budgétaires, et des articles de presse, nous avons vu se déplacer puis finalement disparaître une « médiathèque volante non identifiée », une hypothétique maison des associations, des parkings, des projets immobiliers sans services associés…
Au moment où vous annoncez un futur axe structurant reliant le Port à Nouvelle Coutume, si Nouvelle Coutume il y a, qui risque de pénaliser les activités des rues Thiers, Lebrix et Hoche entre autres,
au moment où vous vous interrogez visiblement sur la nécessité d’étendre le secteur piétonnier,
au moment où des allusions nous parviennent sur un aménagement des Lices en commission économique,
il est effectivement plus que temps d’engager une vraie réflexion pour faire émerger une vision d’urbanisme cohérent sur ce quartier dans son ensemble, au bénéfice de tous les Vannetais.
QUELLE SERA VOTRE DEMARCHE DANS CE DOMAINE ?
Allez vous faire de la micro-chirurgie urbaine, ou un traitement de fond de remise en forme du cœur de ville ?
Une démarche responsable et durable partirait d’un diagnostic, solliciterait des études pour un concours d’idées et dessinerait, dans une concertation pérenne avec la population, un nouveau pôle urbain et de services (publics entre autres). Les marges de manœuvre, ici, sont considérables et plus un projet est construit, global, et innovant, plus il mobilise les financements des partenaires économiques et publics.
DANS QUELLE DIRECTION ENVISAGEZ-VOUS D’ALLER ? QUELLES SONT VOS PRIORITES ? QUELLE STRATEGIE METTEZ-VOUS EN ŒUVRE ?
Il eut sans doute été plus judicieux de se poser ces questions avant de solliciter un FISAC qui doit nous donner des moyens au service d’un projet réel…
il est effectivement plus que temps d’engager une vraie réflexion pour faire émerger une vision d’urbanisme cohérent sur ce quartier dans son ensemble, au bénéfice de tous les Vannetais.
QUELLE SERA VOTRE DEMARCHE DANS CE DOMAINE ?
Allez vous faire de la micro-chirurgie urbaine, ou un traitement de fond de remise en forme du cœur de ville ?
Une démarche responsable et durable partirait d’un diagnostic, solliciterait des études pour un concours d’idées et dessinerait, dans une concertation pérenne avec la population, un nouveau pôle urbain et de services (publics entre autres). Les marges de manœuvre, ici, sont considérables et plus un projet est construit, global, et innovant, plus il mobilise les financements des partenaires économiques et publics.
DANS QUELLE DIRECTION ENVISAGEZ-VOUS D’ALLER ? QUELLES SONT VOS PRIORITES ? QUELLE STRATEGIE METTEZ-VOUS EN ŒUVRE ?
Il eut sans doute été plus judicieux de se poser ces questions avant de solliciter un FISAC qui doit nous donner des moyens au service d’un projet réel…
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