2011 sera l’occasion d’imaginer une vie locale plus juste, plus ouverte, au plus près des réalités. Faisons gagner nos valeurs de progrès et de solidarité.
Recevez, nos meilleurs vœux de bonne et heureuse année, nos souhaits de santé, en espérant que 2011 soit favorable à vos projets.
« Il n’y a pas de honte à préférer le bonheur » (A. CAMUS – La peste)
Excellente année 2011 à toutes et à tous !
Les élus
vendredi 31 décembre 2010
mercredi 22 décembre 2010
Charte d’insertion
Dans le cadre du projet de renouvellement urbain de Ménimur, l’ANRU impose la mise en place d’une charte d’insertion qui permet l’embauche de demandeur d’emploi. Attendue depuis 2008, cette charte voit enfin le jour. Nicolas LE QUINTREC a tenu à la fois dire la satisfaction de la Gauche tout en émettant quelques remarques à propos des objectifs visés.
« L’insertion sociale et professionnelle est un impératif national mais aussi local. La charte d’insertion instaurée par l’ANRU est un levier pertinent en la matière mais aussi pour le développement local. La charte présentée ce soir s’inscrit dans cette dynamique.
Par conséquent, il convient de rappeler que notre document se réfère à la Charte Nationale d’Insertion (CNI) et, de ce fait, le défi qui nous appartient de relever est celui de l’accès à l’emploi durable.
Cela n’enlève rien au principe de la « mise au travail » mais l’enjeu est plus grand, il s’agit bien d’un enjeu qualitatif de l’insertion. »
Il a ensuite exprimé quelques remarques et suggestions :
« 1) Le diagnostic apparaît très succinct par rapport aux préconisations de la Charte Nationale d’Insertion. Cela peut s’entendre pour alléger le document à la condition qu’une présentation plus complète soit assurée en amont en commission municipale. Cela nous aurait permis d’apprécier à sa juste mesure la pertinence des procédures et des moyens mobilisés.
2) Face à la diversité des parcours de vie, il ne peut y avoir de réponse standard. La prise en charge des bénéficiaires nécessite des moyens humains appropriés et en nombre suffisant si nous voulons favoriser les parcours d’insertion.
Dans la charte locale, il est fait référence au réseau des acteurs locaux. Nous sommes d’accord. Mais, n’oublions pas qu’ils sont déjà bien occupés.
Il est fait aussi référence à un Chargé de mission insertion. Il ne s’agit pas de mettre en doute sa compétence, mais suffira –t-elle à tout faire ?
A la lecture de ses missions, des attentes de la population et des entreprises, au regard de l’enjeu, nous émettons une réserve.
3) L’objectif quantitatif est clairement affiché : 5 % des heures réservées pour un total de 28 732 heures. Cependant, l’annexe de répartition est pour le moins succincte. Nous avions demandé en 2008 au moment de la présentation du pré-projet de compléter ces indicateurs par des tableaux complémentaires par corps d’état, par opération, dont l’intérêt est de visualiser la diversité de l’offre des heures d’insertion au regard de la pluralité des projets professionnels.
Ce travail complémentaire permet de mieux repérer les niches d’emploi et répondre à la diversité des populations en insertion (Homme, Femme, Handicapé, Jeune …)
En ce qui concerne la prise en compte des heures hors programme cofinancé par l’ANRU, (article 4 / page 6) il nous semble souhaitable de les comptabiliser en dehors du taux des 5 % .
Cet effort nous paraît tout à fait réalisable et à la hauteur des besoins d’insertion. Cela revient tout simplement à s’inscrire dans la dynamique de relance économique et sociale.
4) L’objectif qualitatif
Constitue sans aucun doute le volet le plus faible de cette charte. Je cite 2 points principaux :
a) La clause des 10 % d’embauches directes ou indirectes est conditionnée essentiellement par la gestion urbaine de proximité (GUP – convention conclue avec Vannes Golfe Habitat).
Le problème, c’est qu’il n’y a pas de convention GUP joint à ce dossier. Il est donc bien difficile d’apprécier son contenu et la réalité des embauches.
C’est d’autant plus gênant que le Préfet réclamait le 18 juin dernier en séance plénière du Comité de pilotage le projet de GUP pour fin 2010.
b) En matière d’évaluation et cela est étroitement lié avec le point précédent, il manque au moins 2 indicateurs à l’article 11 :
- Types de structures d’insertion relevant de l’article 30 du Code des Marchés Publics.
- Embauches directes ou indirectes relevant des 10 %. Y’a-t-il une réelle volonté de créer des emplois ?
c) Quid des activités d’utilité sociale ? Sont-elles envisagées ? Nous pensons particulièrement aux chantiers d’insertion pour les plus éloignés du monde de la production.
d) Il nous semble opportun de prévoir un Guichet unique rassemblant Pôle emploi, Maison de l’emploi, Mission locale, Maison de la formation professionnelle … intégré à l’espace public prévu dans le futur cœur de quartier.
L’insertion repose sur une proximité territoriale et sociale, inscrite dans la durée. Elle exige de notre part exigence et volontarisme. C’est dans cet esprit que nous validons cette charte.
« L’insertion sociale et professionnelle est un impératif national mais aussi local. La charte d’insertion instaurée par l’ANRU est un levier pertinent en la matière mais aussi pour le développement local. La charte présentée ce soir s’inscrit dans cette dynamique.
Par conséquent, il convient de rappeler que notre document se réfère à la Charte Nationale d’Insertion (CNI) et, de ce fait, le défi qui nous appartient de relever est celui de l’accès à l’emploi durable.
Cela n’enlève rien au principe de la « mise au travail » mais l’enjeu est plus grand, il s’agit bien d’un enjeu qualitatif de l’insertion. »
Il a ensuite exprimé quelques remarques et suggestions :
« 1) Le diagnostic apparaît très succinct par rapport aux préconisations de la Charte Nationale d’Insertion. Cela peut s’entendre pour alléger le document à la condition qu’une présentation plus complète soit assurée en amont en commission municipale. Cela nous aurait permis d’apprécier à sa juste mesure la pertinence des procédures et des moyens mobilisés.
2) Face à la diversité des parcours de vie, il ne peut y avoir de réponse standard. La prise en charge des bénéficiaires nécessite des moyens humains appropriés et en nombre suffisant si nous voulons favoriser les parcours d’insertion.
Dans la charte locale, il est fait référence au réseau des acteurs locaux. Nous sommes d’accord. Mais, n’oublions pas qu’ils sont déjà bien occupés.
Il est fait aussi référence à un Chargé de mission insertion. Il ne s’agit pas de mettre en doute sa compétence, mais suffira –t-elle à tout faire ?
A la lecture de ses missions, des attentes de la population et des entreprises, au regard de l’enjeu, nous émettons une réserve.
3) L’objectif quantitatif est clairement affiché : 5 % des heures réservées pour un total de 28 732 heures. Cependant, l’annexe de répartition est pour le moins succincte. Nous avions demandé en 2008 au moment de la présentation du pré-projet de compléter ces indicateurs par des tableaux complémentaires par corps d’état, par opération, dont l’intérêt est de visualiser la diversité de l’offre des heures d’insertion au regard de la pluralité des projets professionnels.
Ce travail complémentaire permet de mieux repérer les niches d’emploi et répondre à la diversité des populations en insertion (Homme, Femme, Handicapé, Jeune …)
En ce qui concerne la prise en compte des heures hors programme cofinancé par l’ANRU, (article 4 / page 6) il nous semble souhaitable de les comptabiliser en dehors du taux des 5 % .
Cet effort nous paraît tout à fait réalisable et à la hauteur des besoins d’insertion. Cela revient tout simplement à s’inscrire dans la dynamique de relance économique et sociale.
4) L’objectif qualitatif
Constitue sans aucun doute le volet le plus faible de cette charte. Je cite 2 points principaux :
a) La clause des 10 % d’embauches directes ou indirectes est conditionnée essentiellement par la gestion urbaine de proximité (GUP – convention conclue avec Vannes Golfe Habitat).
Le problème, c’est qu’il n’y a pas de convention GUP joint à ce dossier. Il est donc bien difficile d’apprécier son contenu et la réalité des embauches.
C’est d’autant plus gênant que le Préfet réclamait le 18 juin dernier en séance plénière du Comité de pilotage le projet de GUP pour fin 2010.
b) En matière d’évaluation et cela est étroitement lié avec le point précédent, il manque au moins 2 indicateurs à l’article 11 :
- Types de structures d’insertion relevant de l’article 30 du Code des Marchés Publics.
- Embauches directes ou indirectes relevant des 10 %. Y’a-t-il une réelle volonté de créer des emplois ?
c) Quid des activités d’utilité sociale ? Sont-elles envisagées ? Nous pensons particulièrement aux chantiers d’insertion pour les plus éloignés du monde de la production.
d) Il nous semble opportun de prévoir un Guichet unique rassemblant Pôle emploi, Maison de l’emploi, Mission locale, Maison de la formation professionnelle … intégré à l’espace public prévu dans le futur cœur de quartier.
L’insertion repose sur une proximité territoriale et sociale, inscrite dans la durée. Elle exige de notre part exigence et volontarisme. C’est dans cet esprit que nous validons cette charte.
mardi 21 décembre 2010
Conseil municipal (17.12.2010) : Extraits des interventions de la Gauche Vannetaise.
Claude JAHIER à propos de la participation de la ville aux dépenses de fonctionnement pour l’année 2011 des écoles privées.
« Tout finit par arriver, puisque cette année, enfin, le coût d’un élève de l’enseignement public, (critère qui permet de déterminer la participation de la ville aux dépenses de fonctionnement des écoles privées), nous a été communiqué en commission « enseignement » ! Nous souhaiterions néanmoins un état plus détaillé de ces calculs. Mais ne désespérons pas, peut-être finirons nous par y avoir accès, par contre, nous regrettons que ces données ne figurent pas dans ce bordereau.
Même si des zones d’ombre persistent encore, par rapport aux textes législatifs, nous voterons ce bordereau. »
Nicolas LE QUINTREC est revenu sur plusieurs sujets d’actualité :
La dépollution des chantiers :
"Suite aux derniers incidents de pollution, notamment celui de La Marle, il importe de clarifier les mesures prises pour que cela ne se reproduise pas. La ville doit faire preuve d’une plus grande rigueur dans les contrôles. Par ailleurs, nous vous remercions par avance Monsieur le Maire de communiquer les diagnostics de dépollution du quartier Nord Gare et ex Sernam."
Le Maire a répondu favorablement.
Ménimur : Après avoir dénoncé la hausse exorbitante des loyers HLM (de 70 à 120 € par mois selon la taille du logement) et celle du chauffage, contraire aux engagements du Maire, Nicolas LE QUINTREC a soulevé la question de la prise en charge des finitions des travaux dans les logements ainsi que le coût des dégradations.
Par ailleurs, il attire l’attention sur le stationnement en cœur de quartier et aux abords. En effet, le parking de la résidence Jourdan en cours de construction et prévu à l’origine en sous sol a été « oublié ». "Les futurs locataires seront amenés à stationner sur les parkings voisins.
Est-ce pour cela que vous avez prévu l’abattage d’arbres du mail rue Delacroix ?"
En 2011, la démolition des 35 et 37 rue Delacroix est programmée. Nicolas LE QUINTREC attire l’attention sur le devenir des locataires (depuis 30 ans) des caves à savoir l’association de culte musulman. Le projet de construction du mosquée à l’extérieur du quartier n’est pas d’actualité. Par conséquent, il demande à la municipalité de prendre les mesures nécessaires pour assurer le « relogement » de ces locataires impactés par la procédure de démolition reconstruction de l’ANRU. Il rappelle que la ville s’est engagée dans son projet de renouvellement urbain à mettre à disposition un espace de 100 m² pour le culte musulman dans le futur cœur de quartier.
Le Maire esquive la question de la hausse des loyers et du chauffage. Il confirme l’abattage des arbres et déclare que la ville assurera le relais entre la démolition de la mosquée et la construction du futur édifice.
« Tout finit par arriver, puisque cette année, enfin, le coût d’un élève de l’enseignement public, (critère qui permet de déterminer la participation de la ville aux dépenses de fonctionnement des écoles privées), nous a été communiqué en commission « enseignement » ! Nous souhaiterions néanmoins un état plus détaillé de ces calculs. Mais ne désespérons pas, peut-être finirons nous par y avoir accès, par contre, nous regrettons que ces données ne figurent pas dans ce bordereau.
Même si des zones d’ombre persistent encore, par rapport aux textes législatifs, nous voterons ce bordereau. »
Nicolas LE QUINTREC est revenu sur plusieurs sujets d’actualité :
La dépollution des chantiers :
"Suite aux derniers incidents de pollution, notamment celui de La Marle, il importe de clarifier les mesures prises pour que cela ne se reproduise pas. La ville doit faire preuve d’une plus grande rigueur dans les contrôles. Par ailleurs, nous vous remercions par avance Monsieur le Maire de communiquer les diagnostics de dépollution du quartier Nord Gare et ex Sernam."
Le Maire a répondu favorablement.
Ménimur : Après avoir dénoncé la hausse exorbitante des loyers HLM (de 70 à 120 € par mois selon la taille du logement) et celle du chauffage, contraire aux engagements du Maire, Nicolas LE QUINTREC a soulevé la question de la prise en charge des finitions des travaux dans les logements ainsi que le coût des dégradations.
Par ailleurs, il attire l’attention sur le stationnement en cœur de quartier et aux abords. En effet, le parking de la résidence Jourdan en cours de construction et prévu à l’origine en sous sol a été « oublié ». "Les futurs locataires seront amenés à stationner sur les parkings voisins.
Est-ce pour cela que vous avez prévu l’abattage d’arbres du mail rue Delacroix ?"
En 2011, la démolition des 35 et 37 rue Delacroix est programmée. Nicolas LE QUINTREC attire l’attention sur le devenir des locataires (depuis 30 ans) des caves à savoir l’association de culte musulman. Le projet de construction du mosquée à l’extérieur du quartier n’est pas d’actualité. Par conséquent, il demande à la municipalité de prendre les mesures nécessaires pour assurer le « relogement » de ces locataires impactés par la procédure de démolition reconstruction de l’ANRU. Il rappelle que la ville s’est engagée dans son projet de renouvellement urbain à mettre à disposition un espace de 100 m² pour le culte musulman dans le futur cœur de quartier.
Le Maire esquive la question de la hausse des loyers et du chauffage. Il confirme l’abattage des arbres et déclare que la ville assurera le relais entre la démolition de la mosquée et la construction du futur édifice.
samedi 4 décembre 2010
Communiqué : Pollution de la Marle
Nous avons appris la pollution accidentelle de la Marle suite à des travaux effectués dans le quartier de la gare, par une entreprise de démolition sur le site des anciens entrepôts « Le Douarin ».
Ce site fait partie de la quinzaine de terrains répertoriés comme pollués, de ce quartier nord et plus spécifiquement de la rue de Strasbourg ! Tous les travaux à venir sur ces terrains présentent donc le risque d’une pollution susceptible de provoquer une nuisance pérenne pour les personnes ou l'environnement proche.
Le site était connu, localisé et classé par le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) comme étant pollué : «Le Douarin Louis, épicier, site Dépôt de Liquide Inflammable –Hydrocarbures ». Les sols ne sont pas seulement pollués, il existe également d’anciennes cuves contenant les hydrocarbures.
Il est étonnant que l’entreprise n’ait pas été plus avisée du diagnostic obligatoire et préalable avant d’effectuer la démolition qui se devait d’être précautionneuse.
Le vendeur d’un terrain doit s’assurer de la dépollution du terrain, c’est le principe pollueur payeur. Où se situe la responsabilité ? La ville de Vannes a cédé à un promoteur, le groupe Giboire, de Rennes ainsi qu’à Reichen et Robert, des architectes professionnels spécialistes de la requalification de friches industrielles la délégation de ce chantier.
Pour un quartier qui doit s'inscrire dans une démarche de développement durable avec des immeubles HQE (Haute Qualité Environnementale), les premiers travaux démarrent plutôt mal.
La mairie doit être beaucoup plus vigilante dans la rédaction de ses protocoles d’accord. Elle doit s’assurer que le suivi des chantiers, le suivi de l’élimination des déchets pollués et le suivi de la sécurité des travailleurs, des riverains et de l’environnement ne soient pas sous-estimés.
Enfin, la mairie doit tirer enseignement de cet accident pour une meilleure gestion des sites pollués vannetais, notamment celui de l’Espace Nouvelle Coutume.
Pour la Gauche Vannetaise
Nicolas Le Quintrec, Anne Camus
Ce site fait partie de la quinzaine de terrains répertoriés comme pollués, de ce quartier nord et plus spécifiquement de la rue de Strasbourg ! Tous les travaux à venir sur ces terrains présentent donc le risque d’une pollution susceptible de provoquer une nuisance pérenne pour les personnes ou l'environnement proche.
Le site était connu, localisé et classé par le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) comme étant pollué : «Le Douarin Louis, épicier, site Dépôt de Liquide Inflammable –Hydrocarbures ». Les sols ne sont pas seulement pollués, il existe également d’anciennes cuves contenant les hydrocarbures.
Il est étonnant que l’entreprise n’ait pas été plus avisée du diagnostic obligatoire et préalable avant d’effectuer la démolition qui se devait d’être précautionneuse.
Le vendeur d’un terrain doit s’assurer de la dépollution du terrain, c’est le principe pollueur payeur. Où se situe la responsabilité ? La ville de Vannes a cédé à un promoteur, le groupe Giboire, de Rennes ainsi qu’à Reichen et Robert, des architectes professionnels spécialistes de la requalification de friches industrielles la délégation de ce chantier.
Pour un quartier qui doit s'inscrire dans une démarche de développement durable avec des immeubles HQE (Haute Qualité Environnementale), les premiers travaux démarrent plutôt mal.
La mairie doit être beaucoup plus vigilante dans la rédaction de ses protocoles d’accord. Elle doit s’assurer que le suivi des chantiers, le suivi de l’élimination des déchets pollués et le suivi de la sécurité des travailleurs, des riverains et de l’environnement ne soient pas sous-estimés.
Enfin, la mairie doit tirer enseignement de cet accident pour une meilleure gestion des sites pollués vannetais, notamment celui de l’Espace Nouvelle Coutume.
Pour la Gauche Vannetaise
Nicolas Le Quintrec, Anne Camus
mercredi 1 décembre 2010
Au salon de la gastronomie
Au moment où l'UNESCO reconnaît la cuisine française patrimoine culturel immatériel de l'Humanité, la Gauche vannetaise a souhaité saluer cet évènement au salon de la gastronomie qui s'est tenu du 27 au 29 novembre dernier. Les élus ont aussi voulu communiquer leur reconnaissance aux professionnels présents à ce salon.
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